Nous sommes né de l'observation de formes complexes utilisées dans l'industrie. Il y apparaît un manque récurrent de capacités en conception et en fabrication pour ces formes quand la complexité d’échelle augmente.
La complexité d'échelle caractérisant nos cartes de données induit :
-
la présence de détails à des échelles arbitrairement petites ou grandes
-
que la complexité est trop irrégulière pour être décrite efficacement en termes géométriques traditionnels
Nous verrons que cette approche induit l'utilisation de l'automatisation autonome
et intelligente, appelée industrie 4.0.
Pourquoi ?
1
POUR CRÉER
L’homme fabrique des choses simples car il conçoit des choses simples. Ainsi, il existe une différence flagrante entre les réalisations humaines, les créations de la nature et celles de la physique. La "complexité d’échelle" y est différente. Là où l’homme est limité par son intelligence, ses moyens pour concevoir, fabriquer; la nature utilise des facteurs d’échelle
beaucoup plus puissants pour
agréger différents cahiers des charges. Dès qu'une fabrication d'objet nécessite l’agrégation de grandes quantités de données, nous devenons limités par notre capacité à les traiter. GRAVITY travaille pour ouvrir ses limites afin de proposer de nouvelles possibilités de fabrications. Nos fabrications ne sont pas issues de concepts humains, un travail de conception pour un seul objet utilisant
des dizaines de millions de références utiles est physique-ment impossible. Nous propos-ons d'ouvrir la complexité d'échelle pour créer des fabri-cations se rapprochant de celle de la nature, de la physique (A)* et/ou issues de l'intelligence artificielle (B)*. Il devient possible de créer des objets
très complexes ayant des définitions utiles mais aléatoires mathématiquement parlant.
2
POUR ANALYSER
"Big data", littéralement "grosses données", parfois appelées "données massives", désignent des ensembles de données devenus si volumineux qu'ils dépassent l'intuition et les capacités humaines -Wikipédia.
À quel moment les données deviennent-elles tellement volumineuses ? Quelques milliers ? Quelques millions ? Quelques milliards ? Dans l'esprit humain, ce volume correspond à la capacité mentale de se représenter ces données ou à la capacité à les mettre en évidence par
des écrans informatiques. Une carte de données réelle est une représentation de l'information numérique de masse permet-tant de la rapprocher de l'information d'environnement (que nous avons plus de facilité à traiter). Le gravage physique 3D s'avère ainsi plus efficace qu'un écran d'ordinateur pour explorer l'information de masse. Nos cartes de données sont fabriquées à partir de toutes bases de données structurelles
à 3, 4 ou 5 dimensions. Les tâches ordinaires d'analyses mathématiques sont reliées à la
partie informatique en utilisant la réalité augmentée. Devant un disque dur contenant des dizaines de milliards de données, jusqu'à présent, seuls des analyses informatiques sont possibles ayant comme interface bridé l'écran d'ordi-nateur. La mise en évidence de caractéristiques se fait en utilisant des graphiques à 1, 2 ou 3 dimensions en utilisant des représentations mathématiques diverses (nombres, pourcen-tages, couleurs, formes, etc).
INFORMATION BIGDATA L'APPROCHE TRADITIONNELLE
Les bases de données sont traitées, des algorithmes définissent des moyennes et "pondent" des résumés sous forme de tendances ou de graphiques divers.




INFORMATIONS BIGDATA L'APPROCHE GRAVITY
Contrairement à l'enfermement lié à un écran affichant des graphiques "simili" 3D, l'analyste peut prendre connaissance d'une information de masse dans sa globalité : 1 milliard de points 3D, soit 1'000 fois plus
de données visibles comparativement à un écran (sources 2018).
Comment ?
Au delà d'une certaine définition (plusieurs millions de points), il n'est plus possible de gérer l'intégralité des données en utilisant les standards de fabrications de pièces issues d'une conception 3D.
Notre technologie :
Seule une partie des informations sont utilisées dans l'interface Homme- machine. La plupart des données, intraitables par l'homme, de part leur nombre, passent par un post-processeur spécifique et
sont envoyées directement en fabrication.
STANDARD DE FABRICATION DE PIÈCES 3D,
QUAND TOUT DOIT PASSER PAR L'ÉCRAN

TECHNOLOGIES GRAVITY
