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Oui mais cela sert à quoi de vouloir fabriquer des BigData ?
À pleins de choses… Maîtriser les données sans limite de quantité : c’est maîtriser les technologies (on en est loin dans la pratique). Rendre possible
la téléportation de "Star Teck" aussi bien que de comprendre l’univers dans sa globalité. En restant les pieds sur terre : maîtriser la fabrication de données de masse, c’est entre autres, se rapprocher des possibilités de la nature,
le biomimétisme, autant pour la reproduire que pour la comprendre.
Pour GRAVITY en 2019, cela sert à créer (partie 1 suivante) et à analyser
(partie 2 suivante) avec de nouvelles possibilités et une nouvelle vision.
C’est très simple. Bien que l’on rencontre encore beaucoup trop de personnes qui ne comprennent pas le potentiel lié à la possibilité
de matérialiser des données de masse.
Notre travail peut être appliqué dans tous les secteurs d'activités utilisant des bases de données figées (95%). Il est pertinent dans les cas de complexités avancées, comme les domaines du vivant ou la physique sous toutes ses formes, plus particulièrement (nos travaux actuels) pour la représentation
de données altimétriques ou de statistiques, comme la mise en évidence d'actions, d'incertitudes, de probabilité, de marges d'erreurs, de sondages, de recensements, etc... Ces données peuvent être représentatives (cartographie, reproduction de structures complexes, etc...) ou corrélatives (représentation de statistiques boursières ou médicales). L'utilité réside dans la capacité à exprimer dans une globalité l'information de masse :
(médicale, pétrolifère, météorologie d'antériorité, épidémiologique, astrophysique...).
Moins confidentiel, moins sensible aux impératifs de protection des données et représentatif pour tous. Perpétuant la tradition Suisse d'expertise du domaine, la Haute Cartographie s'impose comme notre ambassadeur.